Visiter le Guatemala: 8 activités pour devenir témoin des plus beaux paysages

Que faire au Guatemala?

Niché entre le Mexique, le Belize, le Honduras et le Salvador, le Guatemala est une mosaïque vibrante de cultures ancestrales, de paysages époustouflants et d’une histoire profondément enracinée. Ce pays d’Amérique centrale, qui se démarque par sa diversité, est un creuset de traditions mayas ancestrales fusionnées avec des influences espagnoles coloniales. Chaque coin de rue, chaque marché local et chaque sourire reflètent une fierté et une identité guatémaltèques inébranlables. Là où les volcans majestueux se dressent comme des sentinelles au-dessus des horizons verdoyants, et les lacs miroitants racontent des légendes d’antan.

L’un des atouts majeurs du Guatemala est sans doute sa topographie diversifiée. Avec plus de 30 volcans, dont certains sont encore actifs, les amateurs de trekking y trouveront un terrain de jeu idéal. Le paysage varie des forêts tropicales humides du Petén, qui abritent des sites archéologiques mayas comme Tikal, aux hauts plateaux de l’Altiplano, caractérisés par des reliefs montagneux et des villages autochtones pittoresques. Ces hauts plateaux, d’ailleurs, bénéficient d’un climat tempéré appelé “climat éternel du printemps“, avec des températures moyennes variant entre 14 et 24°C, rendant le pays agréable à visiter toute l’année.

Même si le Guatemala séduit par ses paysages, c’est avant tout son patrimoine culturel qui émeut et intrigue. La majorité de la population est d’origine maya, et les traditions, les langues et les coutumes de ces peuples autochtones sont vivantes et florissantes. Les marchés colorés, comme celui de Chichicastenango, offrent une immersion dans cet univers, où les étoffes tissées à la main racontent des histoires et les saveurs culinaires éveillent les sens. C’est dans ces moments, entre une discussion avec un artisan local et une dégustation de “pepian”, plat national riche en saveurs, que le Guatemala révèle son essence. Une essence faite d’héritages, de résilience et d’une beauté qui ne demande qu’à être découverte.

Lors de votre prochain voyage au Guatemala, n’hésitez pas à faire ces 8 activités pour vous imprégner des plus beaux paysages naturels et urbains du pays.


1. Tikal

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Mystères du passé

Considéré comme l’un des sites archéologiques et culturels les plus fascinants de la civilisation maya, Tikal était autrefois une cité prospère, couvrant une surface de plus de 16 km². Ce trésor enfoui au cœur de la jungle tropicale du département du Petén a vu son apogée entre 200 et 900 après J-C. Ses pyramides imposantes, dont la plus haute atteint près de 70 mètres (Temple IV), racontent des histoires de rois, de guerres et d’astronomie. À son zénith, la ville était le centre économique, politique et militaire d’un vaste territoire, comptant jusqu’à 90 000 habitants. L’acropole centrale est particulièrement intrigante, avec ses palais et ses places, offrant un aperçu de la vie sociale de l’époque.

Harmonie avec la nature

Outre sa richesse historique, le parc national de Tikal, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, est un véritable havre de biodiversité. Abritant la forêt tropicale humide, l’écosystème de Tikal est le sanctuaire de nombreuses espèces endémiques et en danger. En vous baladant entre les structures antiques, attendez-vous à croiser des toucans à bec arc-en-ciel, des singes hurleurs ou même des jaguars, si vous avez de la chance. Le parc compte plus de 400 espèces d’oiseaux, ce qui en fait un paradis pour les ornithologues. Les couchers et levers du soleil offrent un spectacle sonore impressionnant, où les cris des animaux résonnent avec les mystères de la cité.

L’art de la découverte

Tikal offre une expérience immersive unique pour les amateurs d’histoire et d’aventure. Bien que de nombreux secrets aient été dévoilés grâce aux fouilles archéologiques, le site recèle encore de bien des énigmes. Pour une compréhension approfondie, il est recommandé de faire appel à un guide local, qui saura vous révéler les détails cachés et les histoires oubliées de cette ancienne métropole. N’oubliez pas d’emporter de bonnes chaussures de marche, une lampe torche pour explorer les recoins sombres et de l’eau en quantité suffisante. La visite au petit matin ou en fin d’après-midi est idéale pour éviter la chaleur de la mi-journée et pour profiter d’une atmosphère plus paisible, où les ruines semblent murmurer les récits d’un temps révolu.


2. Des volcans

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Sentinelles de feu

L’expérience volcanique au Guatemala est tout simplement inégalée. Avec 37 volcans disséminés à travers le pays, dont certains sont encore actifs, chaque ascension offre une perspective unique sur la géologie fascinante de la région. Le Volcán de Fuego, l’un des volcans les plus actifs de l’Amérique centrale, crache régulièrement de la lave, du gaz et des cendres, offrant aux visiteurs un spectacle éblouissant. Lors de l’ascension, il est crucial de prendre en compte les conditions météorologiques et l’activité volcanique. De nombreux sentiers nécessitent des chaussures robustes et une préparation physique adéquate pour naviguer sur les terrains rocheux et les pentes abruptes.

Au-delà de l’horizon

Outre les paysages spectaculaires, la faune et la flore qui entourent ces montagnes de feu sont un trésor à part entière. Les forêts de nuages qui bordent le Volcán de Tajumulco, le plus haut d’Amérique centrale, abritent une biodiversité impressionnante. Entre une altitude de 2 500 et 3 500 mètres, les visiteurs peuvent observer des quetzals resplendissants, l’oiseau national du Guatemala, et une variété d’orchidées endémiques. Toutefois, pour ceux qui cherchent à associer aventure et connaissances scientifiques, le Volcán de Pacaya est une destination incontournable. Ce volcan actif permet aux visiteurs d’observer de près les formations de lave et même de cuire des guimauves sur des roches chaudes!

Géologie en mouvement

Chaque volcan guatémaltèque a sa propre histoire géologique. La rencontre de la plaque tectonique des Caraïbes et de la plaque d’Amérique centrale a donné naissance à cette chaîne de volcans. Lors d’une éruption, la lave, riche en silice, s’échappe à des températures pouvant atteindre 1 200°C, modifiant ainsi le paysage et créant de nouvelles formations géologiques. Pour les amateurs de géologie, le Guatemala est un véritable terrain de jeu. Des excursions guidées fournissent des informations détaillées sur la formation de ces montagnes, la dynamique des éruptions et l’impact de la tectonique des plaques sur la région. Chaque ascension devient alors non seulement une aventure, mais aussi une leçon profonde sur la puissance et la majesté de notre planète.


3. Les plages

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Joyaux de la côte Pacifique

La côte Pacifique du Guatemala, s’étirant sur plus de 300 km, est parsemée de plages de sable volcanique, évoquant un charme sauvage et authentique. Monterrico, par exemple, est l’une de ces merveilles cachées, reconnue pour ses sables noirs et son ambiance tranquille. Contrairement aux plages bondées et commerciales, Monterrico offre une expérience plus brute, où la faune abonde, notamment grâce à la proximité de la réserve naturelle Biotopo Monterrico-Hawaii. Ce qui rend cette plage unique, outre sa couleur, est la température du sable, chauffé par le soleil, contrastant avec les vagues fraîches du Pacifique. Cependant, les courants marins peuvent être forts, il est donc recommandé de nager avec prudence.

Reflets caribéens

À l’opposé de la côte Pacifique, le littoral caribéen du Guatemala, plus court, mais tout aussi impressionnant, nous accueille avec des plages comme Livingston et Punta de Manabique. Ces plages sont bordées par des eaux turquoise et un sable plus clair, typique des Caraïbes. Livingston, accessible uniquement par bateau, est un véritable melting pot culturel, combinant influences mayas, garifunas et afro-caribéennes. L’ambiance est plus rythmée, avec des sonorités punta résonnant à chaque coin. Punta de Manabique, quant à elle, est un paradis préservé, partie intégrante d’une réserve protégée. Ici, l’écosystème est riche, avec des mangroves, des récifs coralliens et une biodiversité marine exceptionnelle, faisant de cette zone un lieu prisé pour la plongée et le snorkeling.

L’engagement écologique

Les plages guatémaltèques sont plus que de simples étendues de sable : elles sont le théâtre d’événements écologiques majeurs. Chaque année, entre juillet et décembre, ces plages deviennent le sanctuaire de tortues marines, comme les tortues olivâtres et les tortues luth, qui viennent y pondre leurs œufs. Monterrico, en particulier, joue un rôle crucial dans la conservation de ces espèces. Des initiatives locales encouragent les visiteurs à participer à des lâchers de tortues, combinant ainsi expérience touristique et sensibilisation écologique. Ces efforts pour protéger l’environnement côtier soulignent l’importance d’un tourisme responsable, garantissant que les générations futures puissent également profiter de ces merveilles naturelles.


4. Semuc Champey

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Une oasis cachée en pleine jungle

En plein cœur de la jungle guatémaltèque, une merveille naturelle attend les plus aventureux : un pont naturel de calcaire de 300 mètres de long, sous lequel coule le rio Cahabòn. Ce qui rend cet endroit exceptionnel, ce sont les multiples bassins d’eau turquoise qui se forment à la surface du pont, offrant des vues panoramiques à couper le souffle. Ces piscines naturelles, alimentées par des sources souterraines, varient en profondeur et en température, offrant aux visiteurs une expérience de baignade unique en son genre, le tout dans un cadre verdoyant où la faune et la flore locales abondent.

La géologie mystérieuse du site

Le phénomène de Semuc Champey est un véritable mystère géologique. Alors que le tumultueux rio Cahabòn disparaît sous le pont calcaire dans un réseau de grottes souterraines, les bassins tranquilles à la surface semblent intouchés par le courant puissant en dessous. Cette disparition du rio pendant près de 400 mètres avant de ressurgir en aval intrigue les scientifiques depuis des années. L’érosion du calcaire par l’eau a créé, au fil des millénaires, ce chef-d’œuvre naturel. De plus, le site regorge de grottes, certaines encore inexplorées, offrant aux spéléologues un véritable terrain de jeu.

L’aventure au rendez-vous

Se rendre à Semuc Champey est une aventure en soi. Situé à plusieurs heures de route des principales villes, le trajet réserve des paysages époustouflants, entre montagnes, rivières et forêts denses. Une fois sur place, outre la baignade, plusieurs activités attendent les plus intrépides. La randonnée vers le mirador, bien que raide, offre une vue imprenable sur l’ensemble du site. Pour ceux qui souhaitent explorer les profondeurs de la terre, des excursions dans les grottes à proximité sont proposées, certaines nécessitant de nager avec une simple bougie comme source de lumière. Cette immersion totale dans un monde à part, où le temps semble s’être arrêté, promet une expérience inoubliable pour chaque visiteur.


5. Lac Atitlan

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Un miroir volcanique

Encastré dans les hautes terres guatémaltèques, ce lac d’origine volcanique est l’un des plus profonds d’Amérique Centrale, atteignant des profondeurs allant jusqu’à 340 mètres. Formé il y a plus de 84 000 ans à la suite d’une énorme éruption volcanique, il est bordé de trois imposants volcans : Tolimán, Atitlán et San Pedro. Ces géants endormis offrent non seulement une toile de fond spectaculaire, mais témoignent aussi de la puissante activité géothermique qui a sculpté cette région. Les fonds du lac cachent également des secrets archéologiques, avec des vestiges de cités précolombiennes submergées, encore en cours d’exploration par des plongeurs spécialisés.

Berceau des cultures mayas

Autour du lac, douze villages, pour la plupart nommés d’après les douze apôtres, parsèment ses rives. Ces communautés, majoritairement d’origine Maya Tz’utujil et Kaqchikel, ont su préserver leurs traditions ancestrales, leurs dialectes, ainsi que leur art du tissage. San Juan La Laguna, par exemple, est reconnue pour ses coopératives de tissage et ses ateliers de teinture naturelle. Santiago Atitlán, le plus grand village, est le centre spirituel du lac, abritant le sanctuaire du saint patron local, Maximon. Cette effigie, mélange de croyances mayas et catholiques, est déplacée chaque année dans une maison différente, offrant aux visiteurs une expérience culturelle authentique et unique.

Écosystème précieux et fragile

Malgré son allure paradisiaque, le lac Atitlan est confronté à des défis écologiques majeurs. Ses eaux, autrefois cristallines, sont menacées par la prolifération d’algues bleu-vert, conséquence directe de la pollution et de l’augmentation des nutriments provenant des eaux usées et de l’agriculture. Des initiatives locales et internationales ont été lancées pour tenter de sauver ce trésor naturel, mettant en avant des techniques agricoles durables et des systèmes de traitement de l’eau. Pour le voyageur éco-responsable, de nombreuses opportunités de bénévolat et d’écotourisme sont disponibles, permettant de contribuer directement à la préservation de ce joyau guatémaltèque.


6. Lac Petén Itzá

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Une oasis de biodiversité

Au cœur de la région du Petén au Guatemala se trouve un trésor aquatique qui se distingue par sa splendeur. Le lac, d’une superficie de 99 km², est l’un des plus grands lacs d’eau douce d’Amérique centrale. Sa profondeur maximale atteint près de 160 mètres, ce qui en fait une source d’eau cruciale pour les écosystèmes environnants. Sa biodiversité aquatique est remarquable, abritant une variété de poissons endémiques et d’autres espèces aquatiques. Parallèlement, ses berges verdoyantes sont le domicile de nombreuses espèces d’oiseaux, faisant de cette région un paradis pour les ornithologues.

Des mystères bien cachés

Sous ses eaux limpides se cachent des secrets millénaires. Le lac Petén Itzá est en effet le site de nombreuses découvertes archéologiques sous-marines. Des vestiges mayas, tels que poteries, bijoux et même des ossements, ont été trouvés dans les profondeurs du lac. Ces trouvailles témoignent des rituels et des offrandes qui ont eu lieu dans ces eaux sacrées. De plus, des études géologiques ont montré que le lac a connu des variations de niveau significatives au fil des siècles, influençant ainsi les civilisations qui vivaient à ses abords.

Porte d’entrée vers un riche passé

Aux abords du lac se trouve la charmante ville de Flores, juchée sur une île qui se connecte au continent par un court pont. Le lac est également situé à proximité du célèbre site archéologique de Tikal. Ce joyau, l’un des plus grands sites archéologiques et centres urbains de la civilisation maya précolombienne, offre aux visiteurs un voyage dans le temps. La proximité du lac a probablement joué un rôle clé dans le choix de l’emplacement de cette cité, offrant aux Mayas une source d’eau vitale et un moyen de transport stratégique. Ainsi, le lac Petén Itzá n’est pas seulement un lieu de beauté naturelle, mais aussi une porte d’entrée vers une civilisation ancienne et fascinante.


7. Antigua

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L’héritage des Rois mayas

Au cœur des hautes terres du Guatemala se trouve une ville qui, bien que petite par sa taille, est immense par son importance historique et culturelle. Les ruines éparpillées à Antigua témoignent de son glorieux passé précolombien. Jadis capitale du Royaume de Guatemala, elle a été témoin du règne majestueux des Mayas. Leurs pyramides, temples et stèles gravées offrent une fenêtre sur un monde ancien où astronomie, mathématiques et religion étaient étroitement liées. Des vestiges tels que La Danta, une pyramide recouverte par la jungle, illustrent l’ingéniosité architecturale des anciens Mayas, avec ses terrasses massives et ses escaliers abrupts.

Un périple architectural

L’empreinte coloniale espagnole à Antigua est indéniable. Après l’arrivée des conquistadors au XVIe siècle, la ville s’est métamorphosée, fusionnant l’art indigène et le baroque espagnol. Les églises aux dômes imposants, les couvents en ruine et les fontaines ornementales peuplent le paysage urbain, juxtaposés aux couleurs vives des bâtiments coloniaux. Le Parador de Santa Catalina, par exemple, est un arc de triomphe jaune moutarde datant du XVIIe siècle, qui servait autrefois de passage pour les nonnes cloîtrées. De plus, le Palais des Capitaines Généraux, avec ses arches robustes et ses cours pavées, raconte des histoires d’une époque où Antigua était le centre névralgique du pouvoir colonial.

La nature à portée de main

Bien que son patrimoine culturel soit captivant, la splendeur naturelle d’Antigua ne doit pas être sous-estimée. Encadrée par trois imposants volcans – Agua, Fuego et Acatenango – la ville offre des panoramas époustouflants. Le volcan de Fuego, en particulier, est célèbre pour ses éruptions régulières, offrant un spectacle nocturne de lave incandescente. Pour les plus aventureux, des excursions permettent de se rapprocher de ces géants endormis. Les terres fertiles autour d’Antigua permettent également la culture du café, une industrie importante pour la région. Les plantations de café, avec leurs pentes douces et leurs grains rouges lumineux, sont non seulement un régal pour les yeux, mais aussi une occasion d’en apprendre davantage sur le processus de production du café, de la graine à la tasse.


8. Chichicastenango

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Le marché coloré du jeudi et dimanche

Si vous cherchez une expérience authentique, mêlant couleurs, traditions et histoire, ne cherchez pas plus loin ! Deux fois par semaine, la ville s’anime autour de l’un des marchés les plus réputés d’Amérique Centrale. Des vendeurs des régions avoisinantes convergent vers cette localité pour vendre ou échanger leurs marchandises. Ce n’est pas un simple marché : c’est une véritable explosion de couleurs avec des étals regorgeant de textiles traditionnels, de poteries, de bijoux et d’une myriade d’articles artisanaux. Les motifs sur les textiles, en particulier, racontent des histoires, chaque couleur et design ayant une signification propre à la culture maya.

Un bastion de la foi et des traditions

À quelques pas du marché, vous pouvez sentir une aura de spiritualité qui émane de l’église Santo Tomás. Avec ses 400 ans d’existence, cette église est un mélange unique de croyances catholiques et de rites mayas. Les 18 marches qui mènent à l’entrée représentent les 18 mois du calendrier maya. Chaque jour, vous pouvez observer des chamans autochtones effectuant des rituels et des offrandes sur ces marches, en utilisant de l’encens, des fleurs et parfois même des sacrifices d’animaux. À l’intérieur, le mélange de croyances est tout aussi palpable, avec des saints catholiques et des autels mayas coexistant pacifiquement.

Au-delà des rues animées

Bien que le marché et l’église soient les principales attractions, il serait réducteur de penser que Chichicastenango se limite à ces seuls attraits. Explorez un peu plus, et vous découvrirez le Pascual Abaj, un autel en pierre vénéré et utilisé pour des cérémonies mayas. Ou encore le musée Rossbach, qui abrite une collection fascinante d’artefacts mayas et offre un aperçu de l’histoire de cette civilisation ancienne. Les ruelles, souvent moins fréquentées, sont remplies de fresques murales qui racontent des histoires d’amour, de guerre, de foi et de résilience. Elles offrent un regard silencieux, mais puissant sur l’âme de cette ville magnifique.